La peur jaillit dans le corps, fait vibrer les organes et s’exprime à travers des sensations piquantes, aqueuses, collantes.
Dans cette série d’oeuvres, le peintre définit ses angoisses sous les traits du rond qui se meut en lui. La vie, l’environnement extérieur, continue de pousser, mais le rond s’exprime et s’étend son emprise, s’impose aux couleurs et aux autres sensations.
C’est la peur, par Enrik Helenius.